Malgré moi, j’ai dû partir
Pour sauver l’être qui s’effaçait
Incapable de subir
Toute la rage qui t’habitait
Il ne restait que la haine
La rancoeur, désillusion
Je tenais tellement au rêve
Sans voir venir la conclusion
J’ai oublié les beaux moments
Seuls restent souvenirs violents
Adieu à mes soucis, dur chapitre de ma vie
Adieu à ton mépris, au malheur prit pour acquis
Tu cries encore pour me revoir, avales tes tords, je cesse d’y croire
Enfin libéré de ton sort, adieu à mes remords
Les larmes aux yeux, dix mille regrets
Fondaient en mots désespérés
Ton aveu, je l’attendais
J’ai laissé mes gardes tomber
Ne cherchant qu’à revenir
Je m’étais si bien dupé
Il n’y avait dans l’avenir
Que tes promesses vides de changer
J’ai tout donner sans recevoir
Je tourne le dos au désespoir
Adieu à mes soucis, dur chapitre de ma vie
Adieu à ton mépris, au malheur prit pour acquis
Tu cries encore pour me revoir, avales tes tords, je cesse d’y croire
Enfin libéré de ton sort, adieu à mes remords
Rendu au point de non-retour
Pas vers l’avant tous les jours
Il faut que je freine toutes cette cadence malsaine
Mais tu te démènes dans tes lancées tragédiennes
J’en ai marre de tes sottises
Je m’échappe de ton emprise
Cesses de nous faire souffrir
Et laisses-moi partir
Adieu à mes soucis, un chapitre de ma vie
Adieu à ton mépris, au malheur prit pour acquis
Tu cries encore pour me revoir, avales tes tords, je cesse d’y croire
Enfin libéré de ton sort, adieu à mes remords